Vallée de la Noë-Jollys

Vallée de la Noë-Jollys

à Martigné-Ferchaud
9.7 km
Pédestre
Facile
9.7 km
VTT
Facile
9.7 km
Equestre
Facile
  • Joli c’est bien le mot pour qualifier cette randonnée qui vous conduira le long du ruisseau de la Noë-Jollys, aux hauteurs de la vallée !

    30 % du parcours sur goudron
Points d'intérêt
1 Breizh Bocage
Les arbres plantés servent à couper le vent qui arrivent sur les parcs à poulet. Les volatiles peuvent ainsi plus facilement profiter du parcours. Les essences comme le Chêne, l’Alisier ou encore le Bouleau son adaptés au sol peu profond.
2 La Soue à cochons
L’élevage des porcs était quasiment systématique dans les fermes jusqu’au milieu du 20e siècle. On peut d’ailleurs constater cette importance par le soin apporté à l’architecture de ces soues dans le secteur. En raison de l’abandon de l’élevage des cochons dans les fermes, elles ont au mieux retrouvé un usage comme débarras ou chenil. Au pire, elles ont été délaissées et laissées en ruine, voire démolies pour libérer de la place dans la cour de ferme. Pourtant, leur valeur patrimoniale est aussi importante que celle d’une étable, d’une grange, d’un four à pain, d’un puits, qui ensemble apportent une lecture parfaite d’une ferme ancienne, dont la vie était proche de l’autarcie.
3 Une allée de chêne en guise de ripisylve
Mais qui suis-je ? Un chêne c’est certain, mais lequel ? Si le chêne pédonculé (Quercus robur) et le chêne sessile (Quercus petraea) sont souvent confondus, ils se différencient grâce à leurs glands. En effet, ceux du pédonculé sont portés par un long pédoncule tandis que ceux du sessile sont directement accrochés au rameau.
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4 Sans mon aubier je dévoile mon duramen
Ici sur ce chêne, je perds de ma présence car trop apprécié des champignons et larves pour laisser place au duramen (ou bois parfait) dont la durabilité naturelle varie selon les essences ; il est, en général, peu ou pas imprégnable.
5 Nourriture naturelle
Le pic épeiche se nourrit principalement sur les branches et les troncs d'arbre, sondant l'écorce avec son bec effilé et puissant, à la recherche d'insectes enfouis dans le bois. Dans les arbres il part aussi à la recherche de larves d'insectes, d'araignées, de graines et de noix. Il mange aussi des graines de pin, de mélèze, d'épicéa ou de bouleau, des noisettes et des champignons. Localement, le pic épeiche boit la sève après avoir percé l'écorce des arbres. En hiver, il visite les mangeoires.
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